IDS 2017 Un bon cru ?
Par Gérard Duminil, Frédéric Bohin, Fabrice Calastreng.
Sentiments mitigés au retour de cette édition, la 7e pour votre serviteur. La majeure partie d’entre elles parcourues avec mon fidèle confrère, et néanmoins ami, Fabrice Calastreng, qui consacre tous les deux ans
une semaine d’une vie bien remplie pour vous rapporter un éclairage de cet événement de portée mondiale, pour sa partie dentaire s’entend ! Frédéric Bohin
Les coulisses
Et pourtant, l’ambiance a changé…
Zoom sur…
Les produits et solutions qui ont attiré notre attention… ou sur laquelle notre attention a été attirée, ne nous leurrons pas ! L’IDS est en effet l’occasion de nombreux lancements, d’envergure mondiale pour certains, et nous en sommes informés à l’avance. Pas de jaloux, c’est par ordre alphabétique que nous ferons le tour des nouveautés les plus marquantes de cette édition.
En direct des stands
Gérard Duminil est allé à la rencontre des industriels qui lui ont présenté en direct leurs incontournables. Vidéo.
L’outil numérique
Pour une dentisterie plus actuelle, avec quels enjeux ?
Nous avions déjà eu ce sentiment il y a déjà quatre ans, dès notre arrivée à Cologne : en pénétrant dans l’immense paquebot du KölnMesse, ce palais des expositions qui sert de vitrine internationale pour les professionnels du monde dentaire tous les deux ans, nous avions alors été plongés immédiatement dans l’effervescence autour de ce que l’on appelait la révolution numérique.
Voici quatre ans, les grandes entreprises mondiales avaient déjà mis en place depuis quelques années, à l’instar de Sirona avec Cerec (qui ne s’était pas encore marié avec Dentsply), leurs systèmes propres, permettant la prise d’empreintes numériques en bouche, puis la fabrication de pièces prothétiques par usinage.
Deux ans plus tard, les mêmes proposaient leurs boîtes à outils, connectant leurs générateurs d’imagerie 3D à leurs systèmes de production, pour planifier et fabriquer dans le même temps la prothèse implantaire.
En parallèle, les acteurs de l’industrie numérique de fabrication de précision, qui délivraient leur savoir-faire depuis une décennie à l’aéronautique ou à l’automobile, commençaient à s’intéresser de près au monde dentaire, ce petit marché de niche si dynamique et avide de technologie de pointe.
Cette année est celle du tournant…
Fabrice Calastreng
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