« Pour améliorer le pouvoir d’achat des salariés, continuer à valoriser leur fidélité à l’entreprise, et simplifier l’application de la prime d’ancienneté », les partenaires sociaux ont signé un avenant le 22 février modifiant le calcul de cette prime, indique la FSDL le 30 avril.
Calculée en pourcentage du salaire minimal conventionnel de la catégorie dans laquelle le salarié est classé (au prorata temporis pour les temps partiels), elle s’élève à 2 % à partir de 2 ans d’ancienneté révolus dans l’entreprise et 1 % s’ajoute par année supplémentaire jusqu’à 20 ans d’ancienneté.
« La prime s’ajoute au salaire réel et doit figurer sur une ligne à part du bulletin de salaire », précise le syndicat.
Si la prime reste plafonnée à 20 %, elle ne progressait auparavant que tous les trois : 3 % à 3 ans, 6 % à 6 ans, 9 % à 9 ans, 12 % à 12 ans et 1 % par année supplémentaire jusqu’à 20 ans d’ancienneté.
Cette modification est applicable depuis le 22 février.
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