L’existence d’une polyarthrite rhumatoïde multiplie par deux le risque d’ostéoporose et augmente la fréquence de la plupart des fractures, hormis (curieusement) celles du poignet. Pourquoi ? L’hypothèse avancée est que les sujets “handicapés” marchent plus lentement et, en cas de chute, s’affaissent plus volontiers sur le côté. Ils sont de ce fait tout naturellement davantage exposés aux fractures du fémur qu’à celles du poignet !
Polyarthrite rhumatoïde, ostéoporose et fractures
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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