Divers arguments expérimentaux et épidémiologiques suggèrent que l’exposition à de faibles doses de perturbateurs endocriniens dans des fenêtres de susceptibilité précises (fœtale, périnatale ou péripubertaire) est susceptible de modifier de façon durable l’épigénome et de favoriser la survenue à l’âge adulte d’affections chroniques ; non seulement de maladies de la reproduction, mais également de cancers, de maladies métaboliques, neuropsychiatriques ou neurodégénératives.
Perturbateurs endocriniens : les preuves s’accumulent !
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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