L’exposition aiguë à l’altitude peut conduire à un syndrome baptisé « mal aigu des montagnes » (céphalées, nausées, inappétence, fatigue, œdème des chevilles…) se compliquant parfois d’un œdème pulmonaire ou cérébral qui peut être fatal, ou guérir après évacuation à une altitude inférieure, mais avec des séquelles neurologiques.
Comment s’en prémunir ? Par une ascension lente : quelques jours de repos après une arrivée à plus de 1 500-2 000 mètres, puis limiter l’ascension à 300 mètres par jour jusqu’à 4 000-4 500 mètres, et à 300 mètres tous les deux jours pour atteindre des altitudes plus élevées.
Montée en altitude : jusqu’où ?
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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