Quelques études suggèrent que la méditation, à savoir les pratiques mentales destinées à améliorer sa concentration, à accroître sa perception du moment présent et à apprivoiser ses propres pensées, aurait une action potentiellement bénéfique sur certains facteurs de risque cardiovasculaire : stress, HTA, insulinorésistance, dysfonction endothéliale… La plupart de ces essais ne sont malheureusement pas dépourvus de « faiblesses méthodologiques » et de nouveaux travaux sont manifestement indispensables pour confirmer – ou infirmer – ces premiers résultats.
Méditation et risque cardiovasculaire
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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