La prescription en dénomination commune internationale (DCI – nom de la molécule) et non plus au nom de marque (ce qui permet au pharmacien une substitution dans tous les cas de figure, y compris hors répertoire des génériques) est de mieux en mieux acceptée par les médecins. En mars 2017, 37 % (23 % en octobre 2015) des généralistes et 22 % (13 % en 2015) des spécialistes libéraux sont favorables à la prescription en DCI et estiment que c’est une bonne mesure, montre une étude réalisée par le Vidal auprès de 2 053 médecins, mise ne ligne le 18 mai. 32 % (identique avec 2015) des généralistes et 26 % (22 % en 2015) des spécialistes pensent que cela ne change rien, le logiciel le faisant pour eux. Au final, seuls 8 % des généralistes et 12 % des spécialistes y sont « totalement opposés ». Pourtant, la prescription en DCI est obligatoire depuis le 1er janvier 2015…
La prescription en dénomination commune progresse
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
Commentaires