Combien de « lapins » vos patients vous ont-ils posés en 2013 ? Pour certains, c’est quasi quotidien. Sur l’ensemble des chirurgiens-dentistes, cela représente des milliers d’heures de soins. Une perte sèche pour les cabinets. Alors, pourquoi ne pas demander aux patients une indemnisation en fonction du préjudice subi ? L’Ordre rappelle dans sa dernière « Lettre » (février-mars) qu’il n’y est pas opposé, déontologiquement, à condition que les praticiens respectent certaines règles : prévenir par affichage les patients de la somme qui pourra être due en cas de rendez-vous manqué injustifié, fixer ce montant avec « tact et mesure » et ne le demander qu’aux patients déjà en cours de traitement et donc liés par un contrat médical. L’Ordre propose, en outre, pour respecter totalement son obligation d’information, d’inscrire cette mention dans le devis.
Il est possible de se faire indemniser « les lapins » injustifiés
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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