La plupart des médicaments anti-infectieux peuvent être responsables d’une hépatite aiguë, affection de gravité variable, se traduisant par une augmentation minime et asymptomatique des transaminases (ALAT) ou, à l’opposé, une atteinte hépatique grave (cytolytique) potentiellement létale.
Parmi les médicaments anti-infectieux les plus souvent incriminés, on retiendra essentiellement : les antibactériens (notamment l’association amoxicilline-acide clavulanique, les macrolides, les cyclines…), les antituberculeux et les antirétroviraux.
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