Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont en règle générale très efficaces sur les douleurs d’origine hémorrhoïdaire, mais sont formellement contre-indiqués chez la femme enceinte à partir de la 24e semaine d’aménorrhée (5 mois de grossesse révolus), en raison du risque de fermeture prématurée du canal artériel chez l’enfant. Par quoi peut-on, avec efficacité et sans risque, les remplacer ? Une courte corticothérapie par voie orale : 40 à 60 mg/j pendant 3 à 5 jours.
Hémorrhoïdes, AINS… et grossesse
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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