La survenue d’une grossesse à un âge « avancé » (disons plus de 40 ans) conduit plus fréquemment à des complications que chez la femme plus jeune, tant sur les plans maternel (prééclampsie, diabète gestationnel… et décès), fœtal et néonatal (retard de croissance intra-utérin, faible poids de naissance… et mort in utero), qu’obstétrical (augmentation du risque de prématurité et du taux de césarienne). Pour autant, et fort heureusement, chez la majorité des patientes ayant une grossesse « tardive », tout se déroule – en l’absence de grossesse multiple ou de maladie chronique sous-jacente – sans problème !
Pour en savoir plus : Vincent A. Âge maternel très avancé et issues de grossesse : données actuelles. La Lettre du gynécologue, novembre-décembre 2018 ; 417 : 18-22.
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