À l’origine de ce rapprochement : « L’engouement du public pour des pratiques thérapeutiques alternatives, non validées scientifiquement, l’essor des formations délivrant des diplômes non reconnus par l’État à des personnes susceptibles d’abuser de la fragilité des patients ainsi que l’intérêt croissant de la part de professionnels de santé pour les pratiques dites de médecine douce qui se traduit notamment par la demande d’actions de formation dans le cadre du développement professionnel continu (DPC) », a expliqué l’Agence nationale du DPC.
Deux axes prioritaires ont été définis : la sensibilisation des personnels de l’agence à la dérive sectaire dans le domaine de la santé et l’échange d’informations portant sur les signalements de situations à risque et les formations sans contenu scientifique. L’Agence nationale du DPC dit vouloir ainsi s’engager à veiller à l’information des professionnels de santé et à la qualité de leur formation continue sans préjudice sur la prise en charge médicale des patients.
Formations DPC : Prévention anti-sectes
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
L’Agence nationale du DPC et la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) ont signé le 30 mai une convention de partenariat en faveur de la vigilance sur les dérives thérapeutiques pouvant conduire à des dérives sectaires en santé.
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