Chez la plupart des femmes, la contraception estroprogestative (COP) n’a que peu ou pas d’impact sur les différents facteurs de risque cardiovasculaire, plus précisément sur l’équilibre glycémique, le profil lipidique, les chiffres tensionnels (élévation moyenne de 2 à 7 mmHg pour la PAS et de 1 à 3 mmHg pour la PAD), le poids corporel et la répartition des graisses.
Il n’en demeure pas moins que l’utilisation d’une COP accroît le risque de survenue d’un accident artériel (infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral – AVC) notamment après l’âge de 35-40 ans, en cas de diabète, d’hypertension artérielle (HTA), d’obésité… ou (et) de tabagisme !
Contraception estroprogestative : quel risque artériel ?
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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