Les pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique (PNCAVT) comme l’homéopathie, l’acupuncture, la phytothérapie, l’ostéopathie, les régimes et les suppléments alimentaires, sont employées par environ 60 % des malades atteints de cancer.
Peuvent-elles être dangereuses ? Outre les risques de dérive sectaire et d’interactions avec les médicaments prescrits, ces thérapies exposent essentiellement – lorsqu’elles sont utilisées en remplacement de la médecine conventionnelle – à un risque de retard au diagnostic et donc à la prise en charge. Sont-elles efficaces ? Le bénéfice (éventuel) de ces thérapies ne peut être attribué qu’à un effet placebo… mais il n’en reste pas moins un bénéfice !
Acupuncture, homéopathie, ostéopathie… et cancers
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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