« En 2017, l’Ordre a procédé à 67 refus d’inscription au tableau de praticiens européens pour non-maîtrise de la langue française », indique l’institution dans sa dernière « Lettre » (avril-mai) qui fait un focus sur les tests de langues obligatoires pour les praticiens allophones. « Ce chiffre s’élevait à 50 en 2016, non pas parce que les tests seraient plus difficiles, mais parce que le nombre de refus suit la courbe ascendante des demandes d’inscription en France de praticiens à diplôme européen », explique l’Ordre. La part des praticiens non français à diplôme européen s’élève à 19,8 % en 2018.
20 % de praticiens non français à diplôme européen
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire n°18 - 8 mai 2019
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