Les lésions cervicales non carieuses (LCNC) sont sources d’ambiguïté pour les praticiens lorsqu’elles sont associées à une récession gingivale. Au gré de leurs compétences, certains y verront d’un œil restaurateur la nécessité de réparer les tissus durs, là ou d’autres y verront d’un œil parodontal le besoin de reconstruire les tissus mous. Virginie Monnet-Corti, Hugues De Belenet et Corinne Lallam reviennent sur le dialogue à établir entre les deux disciplines et le positionnement du choix thérapeutique en fonction de critères objectifs.
Pr Virginie Monnet-Corti
Cheffe du département de parodontologie, UFR d’odontologie Aix-Marseille Université
Rédactrice en chef de la revue PIO
Intervenante de la séance « Récessions gingivales et lésions cervicales : greffes et/ou restaurations ? »
Dr Hugues de Belenet
Pratique privée, Marseille
Dr Corinne Lallam
Pratique privée en parodontologie, Boulogne-Billancourt
Rédactrice en chef adjointe de la revue Réalités Cliniques (Groupe Id)
Responsable scientifique de la séance « Récessions gingivales et lésions cervicales : greffes et/ou restaurations ? »
Propos recueillis par Guillaume Gardon-Mollard