
De nombreux travaux démontrent l’absence de corrélation entre les caractéristiques de l’occlusion et la présence de douleurs et/ou de dysfonctionnements de l’ATM ou des muscles de la mâchoire. Il faut donc changer les anciens paradigmes axés sur l’occlusion et apprendre à intégrer l’anatomie à la dentisterie, explique Daniele Manfredini.