Réalités Cliniques n°1

Edito

Au-delà de l’importance de la maîtrise technique, il y a le patient Se lancer dans l’implantologie, c’est d’abord une prise de conscience, celle de la rigueur et de la précision qu’exige chaque étape, depuis le diagnostic initial jusqu’à la réhabilitation prothétique. C’est aussi un cheminement fait d’apprentissage, d’échanges et de perfectionnement constant. Réussir son premier implant correspond à une préparation minutieuse lors des différentes étapes du traitement implantaire : l’analyse du cas, la planification...

Au-delà de l’importance de la maîtrise technique, il y a le patient

Se lancer dans l’implantologie, c’est d’abord une prise de conscience, celle de la rigueur et de la précision qu’exige chaque étape, depuis le diagnostic initial jusqu’à la réhabilitation prothétique. C’est aussi un cheminement fait d’apprentissage, d’échanges et de perfectionnement constant.

Réussir son premier implant correspond à une préparation minutieuse lors des différentes étapes du traitement implantaire : l’analyse du cas, la planification numérique, le choix du système implantaire, la technique chirurgicale, l’empreinte et la conception prothétique finale.

Au centre de toutes ces étapes cliniques et de l’importance de la maîtrise technique, il y a le patient. Car au-delà du geste opératoire, il y a une attente, une confiance, une fonction et un sourire à reconstruire. L’implantologie n’est pas donc seulement un acte médical, c’est aussi un engagement vers une prise en charge globale du patient.

Depuis ce premier implant, notre pratique a évolué, notre confiance s’est affirmée, et notre exigence s’est accrue. Mais l’émotion de ce premier succès, quant à elle, reste intacte.

À tous ceux qui se lancent dans cette aventure : chaque premier pas est une porte ouverte vers l’excellence.

Un grand merci à tous les auteurs qui ont participé à ce numéro et au groupe de rédaction de Réalités Cliniques pour leur confiance.

Bonne lecture !

Marwan Daas, Guillaume Heller