Des cabinets à bas coût fleurissent autour des grandes agglomérations françaises, proposant des réhabilitations exclusivement prothétiques et implantaires. L’information est largement relayée par les médias généralistes. Il peut s’agir d’une alternative au tourisme dentaire qui répond probablement à la demande d’une partie croissante de nos concitoyens. Mais elle peut s’opposer aux principes actuels de la santé publique et soulever des questions éthiques qui dénoncent la tension entre d’une part les contraintes économiques et d’autre part le respect de principes éthiques fondamentaux liés à une pratique de soins.
Soins « low cost » ou soins « right cost » ?
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 30-31)