La difficulté de prise en charge au fauteuil dentaire n’est aucunement une raison pour refuser de soigner des patients sous traitement psychiatrique car les affections buccodentaires et leurs complications vont aggraver le handicap, altérer la qualité de vie et retarder l’insertion sociale.
Relever le défi : maladie psychique et santé bucco-dentaire en Tunisie
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 2433)
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour lire la suite :
Vous êtes abonné.e ?
Connectez-vous
Pas encore abonné.e ?
Abonnez-vous
Abonnez-vous pour recevoir la revue et bénéficier des services en ligne et des avantages abonnés.
Vous pouvez également :
Acheter l'article
En version numérique