Une thérapeutique est totalement valide lorsqu’elle permet de restaurer durablement la santé, la fonction et l’esthétique avec un coût tissulaire et un coût économique minorés. C’est le cas des techniques adhésives directes depuis l’introduction du concept du mordançage total et de l’hybridation et avec l’apparition de biomatériaux composites aux performances optiques et mécaniques optimisées. Les restaurations adhésives sont aujourd’hui bien codifiées et elles permettent de traiter des dents dont l’endommagement indiquait voici vingt ans des techniques prothétiques. Mais il n’est pas facile pour l’omnipraticien de s’y retrouver entre vraie et fausse innovation. Ces deux décennies ont vu l’introduction sur le marché d’un nombre impressionnant de biomatériaux et de procédures annoncés plus novateurs les uns que les autres, avec souvent à la clé, un gain de temps de mise en œuvre. Cette contribution se propose d’indiquer quelques pistes pour le choix pertinent d’un biomatériau et d’une technique de restauration.
Réflexions sur 20 années de dentisterie adhésive
- Par
- Publié le . Paru dans Réalités Cliniques n°2 - 15 juin 2010 (page 127-134)
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour lire la suite :
Vous êtes abonné.e ?
Connectez-vous
Pas encore abonné.e ?
Abonnez-vous
Abonnez-vous pour recevoir la revue et bénéficier des services en ligne et des avantages abonnés.
Vous pouvez également :
Acheter l'article
En version numérique
Acheter le numéro
À l'unité