Questions…
1 et 2. Un patient se présente à la consultation en raison d’une 36 douloureuse à la pression. La présence d’un inlay composite occluso-mésial ancien, infiltré, et des joints défectueux est constatée. L’analyse biomécanique révèle des fêlures, surtout au niveau de la crête marginale distale. Il faut de plus noter l’absence de la 37. Il est donc décidé de déposer la restauration et de réaliser un overlay en vitrocéramique de type e.max (Ivoclar Vivadent).
Question 1 : Les échecs mécaniques des restaurations sont souvent dus à un manque d’épaisseur de la restauration en fonction du matériau choisi Vrai/Faux
Question 2 : La profondeur occlusale se mesure à partir du fond du futur sillon de la restauration Vrai/Faux
Question 3 : L’utilisation de fraises calibrées permet une préparation contrôlée efficace, même au niveau postérieur Vrai/Faux
Question 4 : L’épaisseur du scellement dentinaire immédiat est négligeable et n’intervient pas dans le calcul de la hauteur de préparation Vrai/Faux
Question 5 : Dans le cas d’un overlay en vitrocéramique, une épaisseur de 1 mm est suffisante Vrai/Faux
Question 6 : Il est recommandé de parfaitement polir la préparation avant l’empreinte Vrai/Faux
Réponses
1 : vrai ; 2 : vrai ; 3 : vrai ; 4 : faux ; 5 : faux ; 6 : vrai
Commentaires
La fracture de la restauration (d’autant plus si le contexte occlusal est défavorable) ou le vieillissement prématuré du joint sont souvent dus à un non-respect des règles de préparation en fonction du matériau utilisé. Il est donc nécessaire de contrôler efficacement la profondeur de pénétration de la fraise dans la dent pour laisser la place minimale requise au matériau de restauration et préserver au maximum les tissus dentaires. Il convient de plus de maximiser la préservation de l’émail périphérique, garant de…