Tous les lasers utilisés en odontologie émettent dans le visible ou l’infrarouge, principalement pour des longueurs d’onde allant du laser KTP à 532 nm (vert) au laser CO2 à 10600 nm (infrarouge). Les effets d’un laser sur un tissu cible donné vont dépendre de l’absorption plus ou moins importante du rayonnement dans les différents composants de ce tissu. Sachant qu’il faut privilégier les phénomènes d’absorption garants d’un effet thermique limité à l’endroit de l’impact, les courbes d’absorption dans l’eau, l’hémoglobine et l’hydroxyapatite vont alors nous aider à comprendre les différentes applications cliniques de chaque longueur d’onde. Les lasers dentaires sont de classe 4 et peuvent se révéler dangereux pour les yeux en cas d’irradiation directe ou indirecte par un phénomène de réflexion. Différentes précautions doivent alors être prises, notamment le port de lunettes de protection adaptées par toutes les personnes présentes dans la salle de soins.
Les lasers en médecine bucco-dentaire
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- Publié le . Paru dans Réalités Cliniques n°2 - 15 juin 2012 (page 85-94)
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