Vrai ou faux…
Question 1 Les inserts soniques ont une conception différente des inserts ultra-soniques.
Question 2 Il faut préférer des inserts fins aux inserts épais.
Question 3 Le mouvement de l’insert ultra-sonique est le même que celui de l’insert sonique.
Question 4 Le mouvement appliqué aux inserts soniques et ultra-soniques autour d’un implant est différent de celui appliqué autour d’une dent.
Question 5 Un insert en acier inoxydable peut être utilisé dans certains cas lors du débridement implantaire.
Question 6 Un même insert peut être utilisé pour le débridement du col implantaire et de sa supra structure prothétique.
Question 7 Un insert ultra-sonique doit être utilisé à puissance moyenne à élevée pour un maximum d’efficacité.
Question 8 Il faut utiliser obligatoirement des antiseptiques avec les inserts.
Question 9 Le flux d’eau refroidissant l’insert doit s’écouler de la pièce à main en spray.
Réponses : 1. Faux, 2. Vrai, 3. Faux, 4. Faux, 5. Faux, 6. Vrai, 7. Faux, 8. Faux, 9. Faux
Commentaires
Un insert (ultra)sonique doit répondre à deux objectifs cruciaux : débrider efficacement le biofilm implantaire, sans altérer l’état de surface de l’implant et de sa supra structure prothétique afin de les rendre le moins propice possible à la colonisation bactérienne. Une surface rugueuse est plus difficile à nettoyer et peut accumuler jusqu’à 25 fois plus de plaque sous-gingivale qu’une surface lisse.
Répondre à ces observations implique la maîtrise des cinq paramètres qui caractérisent un insert sonique ou ultra-sonique :
– sa fréquence de vibration : elle est fonction du type de générateur : 3 à 6,5 kHz pour les instruments soniques et 25 à 36 kHz pour les ultra-soniques (piézo-électriques et magnétostrictifs) (fig. 2 et 3).
Cliniquement, la fréquence des instruments ultra-soniques permettrait…