Un des rôles du chirurgien-dentiste traitant est de savoir dépister et diagnostiquer très tôt les désordres fonctionnels et occlusaux naissants ou déjà installés. Il peut alors entreprendre toute action qui vise à corriger les dysmorphoses pour les cas les plus simples. Pour les cas plus difficiles, il peut orienter son patient vers un confrère spécialiste. Le traitement précoce permet d’éviter une aggravation des dysmorphoses alvéolaires et squelettiques qui pourraient entraver la croissance, la fonction ou encore perturber l’esthétique de nos jeunes patients. Les traitements interceptifs interviennent dans une période favorable tant pour la coopération, que pour les rééducations neuro-musculaires. Ils offrent ainsi un champ d’action très étendu. Le traitement ultérieur, s’il est nécessaire, sera facilité et écourté et la stabilité sera meilleure.
Gestes simples en orthodontie interceptive
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- Publié le . Paru dans Réalités Cliniques n°3 - 15 septembre 2008 (page 231)
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