Chez les patients institutionnalisés en milieu
psychiatrique, toute affection bucco-dentaire peut entraîner, entre autres complications, une
sensation de déchéance susceptible d’aggraver la
pathologie psychiatrique initiale (7). Or ceux-ci
s’avèrent vulnérables sur le plan bucco-dentaire,
en raison de 3 facteurs :
– la perte d’autonomie empêchant la bonne prise
en charge odontologique,
– la pathologie psychiatrique souvent lourde qui
occulte le volet bucco-dentaire,
– un traitement psychotrope entraînant une baisse
du flux et du pH salivaire, d’où une plus grande
incidence des caries, en particulier du collet, de
candidoses et d’anomalies fonctionnelles orales
(8, 10, 11, 14, 16).
Evaluation de l’influence des psychotropes sur la santé bucco-dentaire chez une population de patients hospitalisés en secteur psychiatrique
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 439)
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