Quelques vieilles croyances non fondées sont encore souvent évoquées comme des vérités premières. Elles sont souvent le résultat de confusions entre la notion de dimension verticale et le décentrage transversal ou la perte de calage. Il n’existe pas de méthode précise et reproductible pour déterminer la Dimension Verticale d’Occlusion ; mais peu importe, du fait des larges potentialités d’adaptation des sujets aux variations verticales. On pourra donc « jouer », en une fois, avec la Dimension Verticale d’Occlusion en fonction de nos besoins, tout en sachant qu’il existe forcément des limites à ces variations. Ainsi la variation de DVO doit être réalisée par une simple rotation autour de l’axe charnière (en relation centrée), ne pas exagérer une typologie verticale déjà marquée (hypo ou hyper divergence), permettre le contact labial non forcé et éviter les variations brutales et importantes chez les sujets peu adaptables (ATM arthrosique ou troubles neuromusculaires).
Dimension Verticale d’Occlusion (DVO) : des mythes et des limites
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- Publié le . Paru dans Réalités Cliniques n°2 - 15 juin 2013 (page 99-104)
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