La circulation de l’air atmosphérique dans les voies aérifères nécessite un certain gradient (ou différence) de pression entre les orifices de la face (narines ou fente orale) d’une part et les voies aériennes inférieures pulmonaires d’autre part. Plus les résistances à l’écoulement augmentent, ce qui est le cas dans les Obstructions Nasales Chroniques (ONC), plus ce gradient doit être important. Le travail de la pompe thoracique est donc amplifié.
Conséquences morphologiques des troubles de la ventilation nasale optimale
- Par
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 1367)