La biologie pulpaire est omniprésente dans l’exercice quotidien de chirurgie dentaire, mais il s’avère qu’elle est relativement mal connue par le praticien. La plupart des sensibilités postopératoires sont d’origines pulpaires. Une bonne connaissance de la structure dentinaire, de la physiologie de la pulpe et du comportement du complexe pulpo-dentinaire est un facteur essentiel pour comprendre les répercussions de nos actes thérapeutiques et prévenir au maximum l’inconfort postopératoire immédiat et médiat. Dans une première partie, nous rappellerons succinctement les structures histologiques de la pulpe et de la dentine. Nous aborderons ensuite les principes essentiels de physiologie et pathologie de la pulpe et tenterons d’établir un lien direct avec les manifestations cliniques rapportées par les patients. En effet, l’inflammation n’est pas la seule origine de la souffrance pulpaire ni des phénomènes douloureux. L’objectif de cet article n’est pas de faire une revue exhaustive des connaissances de biologie pulpaire, mais plutôt de fournir les bases indispensables au praticien pour le convaincre de l’intérêt d’une dentisterie plus préservatrice.
Comprendre la physiopathologie pulpaire
- Publié le . Paru dans Réalités Cliniques n°4 - 15 décembre 2011 (page 295-302)
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