Il est aujourd’hui parfaitement démontré – contrairement à ce que certains pseudo-spécialistes voudraient faire croire ! – que le nombre de maladies auto-immunes rapporté chez les jeunes filles vaccinées anti-HPV n’est pas supérieur à celui observé chez les jeunes filles qui ne le sont pas. L’apparition d’une sclérose en plaques (SEP), d’une thyroïdite ou de toute autre maladie, un jour, un mois ou un an après une vaccination anti-HPV constitue une pure coïncidence temporelle.
Faut-il vacciner les jeunes filles contre les papillomavirus humains afin de les protéger, notamment contre la survenue d’un cancer du col de l’utérus, mais également de la vulve, du vagin ou de l’anus ? En accord avec les agences sanitaires internationales (OMS) et nationales (INCa, Académie de médecine), et les sociétés savantes de gynécologie et pédiatrie (CNGOF, SFCPCV, AFPA), assurément oui !
Vaccination anti-HPV : gare aux allégations mensongères !
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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