L’augmentation constante et croissante de l’incidence des fêlures dentaires s’explique par le fait que les patients vivent de plus en plus vieux et gardent leurs dents plus longtemps ; celle-ci ont souvent été restaurées après avoir reçu ou non un traitement endodontique, ce qui les rend plus susceptibles aux fêlures.
Enfin, il n’est pas rare d’observer la présence de fêlures sur des dents parfaitement intactes.
Le traitement des fêlures coronaires : il nécessite une approche spécifique. Il doit bien évidemment supprimer la symptomatologie et tenir compte de deux impératifs contradictoires : assurer la cohésion des fragments afin d’éviter la propagation de la fêlure en direction apicale et préserver la structure coronaire résiduelle. Le praticien est donc soumis systématiquement à deux dilemmes : l’invasivité minimum et le risque minimum.
Points de vue C34
Traitements des fêlures : invasivité minimum ou risque minimum ?
Jeudi 29 novembre – 9h/10h30
Interprétation simultanée français/anglais
Responsable scientifique : Nicolas Lehmann
Conférenciers : Romain Chéron, Didier Dietschi
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