Agnès Buzyn, ministre de la Santé, et Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, ont lancé le 12 octobre un groupe de travail relatif à la mise en œuvre de la suppression des numerus clausus et de la PACES, annoncé par le Président de la République le 18 septembre dans le cadre du plan « Ma santé 2022 » (lire ID n° 32).
Il présentera une « proposition d’organisation » d’ici à la fin du mois de novembre qui devra permettre la mise en place d’un cadre national garantissant l’équité de traitement de tous sur le territoire (enseignements communs ne portant plus uniquement sur les maths, les QCM et le bachotage, passerelles entre les cursus, prise en compte de la diversité des étudiants…), et la garantie d’une autonomie de chaque établissement pour qu’il inclue l’admission dans les études de santé dans le cadre général de son offre de formation, y compris pour les établissements qui ne proposent pas en leur sein de formation en santé.
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