L’infarctus du myocarde silencieux – tout aussi dangereux que celui qui est ressenti ! – peut être facilement identifié par l’IRM cardiaque ; examen dont la sensibilité est largement supérieure à celle des autres techniques, ECG compris. Reste à déterminer l’intérêt (au plan pronostique) de dépister les infarctus silencieux dans les populations à risque (notamment les sujets diabétiques) et la stratégie thérapeutique à adopter en présence d’une telle affection.
Infarctus silencieux : comment l’identifier ?
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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