L’exercice a longtemps suscité la crainte chez les patients souffrant d’affections neurologiques chroniques. Aussi, la réduction ou l’arrêt de l’activité physique était-elle souvent préconisée chez ces malades, afin d’éviter l’aggravation de la symptomatologie. Il en est aujourd’hui tout autrement. L’intérêt de l’activité physique dans les maladies neuromusculaires, au décours d’un accident vasculaire cérébral, dans la sclérose en plaques et les syndromes parkinsoniens, est désormais démontré !
Activité physique et affections neurologiques : oui ou non ?
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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